ultras eagles

Bla bla derrière les écrans mais rien en face ! On avait eu droit à toutes sortes de menaces : scénario port said, boucherie avec toutes les armes, … Et face à toutes les paroles des rats, les Rajaouis ont déferlés en vagues à la capitale. Menés par les groupes maganistes, les JRADS ont porté le défi et sont même partis chercher les rats au fond de leur virage et les attaquer derrière leur curva après le tour d’honneur du stade. On a nettoyé les lieux et ils n’ont rien pu faire à part CAPITULER et fuir. Au bilan : plusieurs faraouis tabassés, des motos brulées, les forces de l’ordre attaqué tout cela le jour même de l’indépendance.
On tient à préciser que le groupe a tenu à effectuer le cortège derrière un message portant honneur à tout RAJAOUI au lieu de se mettre derrière sa bâche et profiter de l’occasion pour s’attribuer le mérite de tous les présents. Les Eagles auraient bien pu organiser un cortège réunissant uniquement leurs membres et semer toute la pagaille possible. RABAT CAPITULE : Eh oui ! La capitale capitule, un bon jeu de mot digne des Eagles et de la mentalité adoptée. Mais ce message est plus que de la peinture sur un bout de tissu, c’est le reflet de la réalité des supporters RAJAOUIS qui envahissent la capitale à chaque déplacement et laissent les locaux bras croisés. Les fils du gouvernement, toujours aussi lâches et peureux, ne manqueront pas de prendre leurs jambes à leur cou lorsqu’on essayera de les suivre.
Après un moment d’attente, on accède finalement au stade sous les plus belles provocations des Pigs. La suite du match tout le monde la connait : la puissance vocale des Rajaouis qui fait vibrer Rabat, le but refusé de Bourezzouk, la colère des gradins et puis la séance effroyable des tirs aux buts durant laquelle Askry excelle en arrêtant le dernier tir de Kaddioui. Il aura fallu 2 minutes pour que le stade se vide et que seuls les Rajaouis restent fêter la remise du trophée par Sa Majesté le Prince Moulay Rachid.
Le temps des festivités se fait long avant que les maganistes ne reprennent la route vers Casa. Là encore on ne peut que constater en silence les provocations des cops qui ne cherchent que la moindre occasion de sortir les matraques. On avale durement ce comportement merdique des chiens de l’état parce que la victoire de ce soir et le trophée qui s’ajoute à notre palmarès peuvent faire oublier les douleurs de ces coups.
Ce sont les premiers fruits du mouvement BASTA que nous sommes entrain de cueillir !